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La presse belge humilie Georges-Louis Bouchez pour sa condition physique de gros ivrogne

Dans un article paru l’an dernier, j’avais taxé le petit Bouchez de sale gauchiste dont le physique suggère une hybridation ratée entre Jack Nicholson et Idris Aberkane. Je suis drôle, parfois.

Je vous invite d’ailleurs à relire ce texte qui ne semble pas avoir été assimilé par certains guignolos libéraux-populistes de notre cher plat pays qui pensent toujours que l’Europe (oups, ils n’ont pas lu Jean Thiriart) le pays peut être sauvé par le système électoral : Les politiciens véreux de Wallonie renforcent la Charte de la Démocratie ─ décryptage du cordon sanitaire belge

Très récemment, le petit Bouchez a de nouveau fait parler de lui dans la presse flamande ─ et les échos sont parvenus jusqu’en Wallonie ─ non pour ses capacités cognitives hors normes, son sens de l’éthique ou du sacrifice au nom du bien commun, mais bien parce qu’il est incapable de faire une pompe ou une traction.

Depuis lors, tout le monde se moque de lui, et à raison.

Les commentaires ne sont pas tendres : « vous êtes un poids mort pour le groupe », peut-on entendre dans l’émission. Un résumé sévère (« mais correct », soulignent les médias flamands) de la prestation de Georges-Louis Bouchez (37 ans). Les militaires non plus n’ont pas ménagé leurs critiques, tout comme d’autres participants connus de l’autre côté de la frontière linguistique, qui font également part de leur mécontentement. « Nous ne comprenons pas pourquoi il a participé à cette émission », s’interroge notamment l’hebdo Dag Allemaal, très lu en Flandre. Het Laatste Nieuws pointe « une prestation médiocre ».

Il avait promis au public de se dépasser lors du deuxième épisode. Promesse non tenue. Car le président du MR semble avoir besoin d’entraînement physique puisque lors du deuxième épisode diffusé lundi soir, il s’est écrasé au sol lourdement alors qu’il tentait de s’accrocher à une barre fixée en hauteur. Dans un moment quelque peu surréaliste, on entend d’ailleurs son instructeur lui lancer « colle ton zizi à la barre ! » et Georges-Louis Bouchez de lui répondre : « Je fais le maximum pour ça ! ».

Le président du MR a réagi pour la première fois chez nos confrères flamands de Het Laatste Nieuws. « Vous pensez vraiment que les gens ne vont plus voter pour moi parce que je suis incapable de pousser une voiture dans le désert ? Ou parce que je ne peux pas tourner sur une barre horizontale ? Allons… »

Parfaitement.

Bouchez commet l’erreur de tous les dualistes à bas QI qui opèrent une distinction entre le corps et l’esprit. Cette distinction ─ fruit de deux mille ans de lavage de cerveau sémito-chrétien ─ ne trouve pourtant pas d’emprise dans la réalité ; seulement dans le cerveau malade de ceux qui méprisent cette Grande Santé décrite par Nietzsche et par nombres d’autres penseurs des siècles avant lui, à commencer par Héraclite.

« Quand le naturel l’emporte sur la culture, cela donne un sauvage ; quand la culture l’emporte sur le naturel, cela donne un pédant. L’exact équilibre du naturel et de la culture produit l’honnête homme » affirmait Conficius. Les Grecs anciens ne disaient pas autre chose lorsqu’ils promouvaient la kalokagathia ─ l’idéal aristocratique de l’esprit sain dans un corps sain. “Platon” signifie “larges épaules” et quiconque souhaitait pénétrer dans son académie devait au préalable parvenir à faire cent pompes sur une main.

Le philosophe grec moyen

La même éthique se retrouve dans l’Iliade homérique, dans laquelle les personnages disposent de caractéristiques divines (suivant le mot de Goethe : “la religion grecque n’a pas rendu humaine la divinité : elle a vu l’essence de l’homme comme divine) mais restent profondément humains ; ils accomplissent des exploits guerriers hors normes mais restent toutefois soumis à la loi commune, à la souffrance, à l’erreur, à l’échec et à la mort. Le seul personnage méprisable se trouve être Thersite le Boiteux, un personnage laid et difforme ─ le Georges-Louis Bouchez de l’époque ─ ayant contesté la légitimité du pouvoir royal et qui finira par se faire rosser par Ulysse. À la différence de Thersite, les héros sont vertueux, intelligents, mais également beaux, forts et téméraires.

La conception hellénique de l’unité de l’être humain, identifiant le physique au psychique, se révèle être d’une profondeur qui ne se méprend pas. Thibaut Isabel l’a parfaitement identifié : « Les vertus sportives traduisent le sens de l’effort, la discipline au service d’une ambition, l’acceptation du conflit comme moteur d’un monde en devenir ».

Vous l’avez compris ; ma thèse, c’est qu’il y a une corrélation directe entre la virtuosité, l’intelligence, les capacités physiques et la quantité de sang nordique chez un individu. Tout concorde : Bouchez est un narbonoïde d’une intelligence relative, un physique de boomer alcoolique avachi et une moralité fangeuse.

Je vous laisse méditer.

Source : SudInfo

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