« Justice » britannique : Sam Melia est condamné à deux ans de prison pour des autocollants « White Lives Matter »
L’opposition britannique, depuis la disparition d’Oswald Mosley, se résume au National Front (dans les années 1980) puis au BNP (British National Party) de Nick Griffin (dans les années 2000). Le parti conservateur avait bien un député avec des idées intéressantes (Enoch Powell), mais son fameux discours sur les « Rivers of Blood », dans les années 1960, a mis fin à sa carrière. C’est maintenant le Patriotic Alternative de Mark Collett qui se fait un devoir de relever l’honneur de la Grande-Bretagne. Il y a bien Tommy Robinson, toujours actif, mais il se limite à un discours anti-islam, à la Zemmour, avec un tropisme pro-israélien trop marqué pour être honnête.
Le Leeds Crown Court vient de condamner Sam Melia, un collaborateur de Mark Collet, du Patriotic Alternative, à deux années de prison, avec exécution immédiate de la sentence, pour avoir produit des autocollants avec le slogan « it’s ok to be white », “Second-generation? Third? Fourth? You have to go back”, “mass immigration is White genocide”, “they seek conquest not asylum”, “there is a war on Whites”, “love your nation” et “White lives matter”.
Le juge Tom Bayliss a justifié sa décision en disant que ces stickers sont nuisibles à l’action du gouvernement sur l’immigration (on s’en doute bien, jamais autant d’immigrés ne sont arrivés en Grande-Bretagne que depuis ces dernières années). Toujours selon ce sinistre individu, ces stickers paraissent dans un climat délétère, en lien avec les gangs pédophiles pakistanais opérant en Angleterre (notamment Rotherham).
La photo de cet article montre à gauche un photo de Sam avec la mère de ses deux enfants, Laura Towler.
A droite, vous pouvez voir Tom Bayliss, le juge qui a condamné Sam Melia, en train de faire le salut communiste devant la statue en bronze de Nelson Mandela. Est-ce que certains pensent encore que le système judiciaire actuel fait respecter les lois de manière impartiale? N’avons-nous pas une panoplie de juges rouges chargés de faire régner leur idéologie au détriment de la justice?
Ce même juge avait en 2017 condamné à du sursis un homosexuel pour possession de matériel pédophile.
En 2022, un autre pédophile, Bilal Akalwaya, a lui aussi échappé à la prison, ce pervers avait sodomisé le chien d’un ami et était en possession de centaines d’images de pédophilie.
On voit à peu près le nouveau monde que nous préparent les crypto-communistes : vos gosses seront livrés aux pédophiles, vos femmes seront pour les immigrés et vous irez vous battre en Russie.
Soucre: noticer