Déprimée après un viol, elle a fait une demande d’euthanasie. Nous plaidons pour la kakothanasie du violeur.
Tous les journaux avaient parlé en février 2023 du cas de Nathalie Huyghens.
Pendant une séance de course à pied le 3 septembre 2016 le long du canal à Vilvoorde, un individu l’approche et la viole.
Conseil aux femmes, ne jamais faire une séance de course à pied sans être accompagnée et/ou armée.
Autre chose : il semble que les journaux parlent toujours des femmes blanches qui se font violer, serait-ce parce que les femmes blanches seraient plus nombreuses à se faire violer que les femmes non-blanches ? Ou bien parce que les femmes blanches ont une attitude indépendante qui les met plus souvent en situation de danger ? Ou bien les journaux ont-ils l’instruction de ne parler que des femmes blanches qui se font violer, pour faire passer dans l’esprit du public que femme blanche égale cible de viol, peut-être afin de déclencher un automatisme dans l’esprit de certaines populations étrangères, les femmes blanches étant les Sabines se faisant enlever par les Latins.
Le violeur est identifié et un procès a lieu en 2019, pendant lequel Nathalie Huyghens exprime l’intention de se faire euthanasier.
Les médecins qui faisait partie du comité d’éthique ont évidemment immédiatement donné leur accord à son euthanasie.
Tous les journaux ont parlé dans les moindres détails du désir de Nathalie Huyghens de se faire euthanasier, comme si c’était quelque chose de positif, à quelque chose malheur est bon.
Quand on fait une recherche google de couples heureux, on voit des noirs sur google, mais par contre quand on parle d’euthanasie, d’avortement ou de couples sans enfants, on voit toujours des Blancs.
Mais bonne nouvelle, depuis lors Nathalie Huyghens est revenue sur sa décision et se porte bien, nous lui souhaitons sincèrement bonne chance. Et tant pis pour le comité d’éthique des médecins. Et bizarrement, les journaux francophones ne parlent pas non plus du changement d’avis de Nathalie. Un Blanc n’est intéressant que s’il veut mourir, d’après eux.
En ce qui concerne le violeur, Pascal P., il a été condamné en première instance à 19 ans de prison. Lors de son appel en 2020, il a avoué son crime, la peine a donc été ramenée à 15 ans. Au tiers de la peine, après 5 ans, en janvier 2025, il pourra bénéficier d’un bracelet électronique et donc d’être de fait libre.
Notons qu’aucun journal n’a publié ni le nom entier ni la photo de Pascal P.. Pourquoi une telle discrétion, pourquoi une telle pudeur, pourquoi aucun homme politique ou journaliste ne s’en émeut ? Reçoivent-ils des instructions ? Sont-ils payés pour cela ?
Pascal P. n’en était pas à son premier coup d’essai, il battait sa femme et la violentait. D’ailleurs souvent il y a escalade dans ces crimes sexuels: exhibitionnisme, puis on touche, puis on embrasse de force et enfin on viole.
Pourquoi n’a-t-il pas été castré après la première agression sur une femme ? Si Dutroux avait été castré, pas chimiquement, mais physiquement, après son premier viol, il n’y aurait pas eu d’affaire Dutroux.
Pourquoi aucun homme politique ne propose le retour de la peine de mort ?
« Oui mais, la peine de mort n’est pas dissuasive » mais la prison l’est-elle aussi ? Et dans ce cas, pourquoi ne pas aussi supprimer les peines de prison ?
C’est en fait ce qui est en train de se passer, les criminels sont en liberté et les honnêtes gens sont tués dans la rue ou bien sont calfeutrés chez eux, comme dans une prison.
Nous proposons quant à nous le rétablissement de la torture.
On s’en fout que le criminel récidive ou pas, la jouissance de voir le criminel expier ses crimes nous suffit. Que cela doit être bon d’entendre ses os craquer sous les pinces du bourreau, ah ! je ferme les yeux en pensant aux délices de l’entendre hurler pendant qu’on lui enlève la peau, qu’on l’écartèle, qu’on l’éviscère, qu’on l’ébouillante, que sais-je encore ?
Du temps de Mozart et de Voltaire, la torture était encore d’application.
Maintenant nous n’avons plus de torture, mais plus de Mozart non plus. On se contente de Doc Gynéco et de Michel Onfray.