A la uneÉpinglésSociété

« Brassards LGBT » de la Coupe du Monde : l’incroyable pleutrerie de nos élites

Le temps où la coupe du monde faisait rêver les enfants est révolu. Fini le drapeau national. Le drapeau de la religion wokiste a pris le relais.

Nous assistons depuis quelques jours à un jeu ignoble de la part de nos élites politiques et journalistiques. Toute la bien-pensance belge s’est mise d’accord pour pousser nos joueurs de l’équipe nationale à porter un brassard faisant la promotion de la cause LGBT au Qatar. Le brassard arc-en-ciel est donc devenu plus important que le drapeau national, le joueur de foot est donc devenu de la chair à canon idéologique.

Ces petits soldats du wokisme, cachés dans leurs bureaux, protégés par des agents de sécurité et par des policiers blancs cisgenres sont-ils conscients qu’un joueur de football n’a pas à faire leur sale boulot ? N’ont-ils pas honte de pousser des footballeurs à enfreindre les lois du Qatar pour des idées qu’ils ne cautionnent sans doute pas ?

Il est évident que les politiciens et les journalistes qui poussent nos joueurs de foot à porter le brassard « One Love », n’oseraient pas eux-mêmes prendre le moindre risque physique pour défendre leurs idées progressistes. Imagine-t-on François de Brigode avec un brassard arc-en-ciel à la Gare du Nord de Bruxelles en fin de soirée? Elio Di Rupo organisera-t-il un jour une Gay Pride Rue de Brabant ? Les boomers d’Amnesty international sont-ils prêts à risquer un baiser homosexuel en public au marché de Molenbeek ?

Ces mêmes politiciens qui demandent à des joueurs de football d’être nos ambassadeurs, oseront-t-ils un jour imposer au Maroc de reprendre ses milliers de délinquants qui rôdent dans nos rues et sur-peuplent nos prisons ? Quand on parle de diplomatie réelle, il n’y a plus personne.

Enfin, pour qui se prennent ces politiciens et journalistes qui demandent à des footballeurs de réfléchir sur le mode de société que nous voulons, mais qui se couchent devant les revendications communautaristes depuis des décennies, ces journalistes qui n’osent même plus prononcer les mots « égorger » et « attentats islamistes », préférant parler de « coups de couteau » et d’ « agression de déséquilibré », mais qui demandent à des gars qui veulent simplement jouer au foot d’aller faire les héros de pacotille en arborant un symbole grotesque.

Arthur M.

PS : nous avons déjà épinglé le monde du football ici et . Je pars désormais du principe que soutenir l’équipe nationale de football belge sous teint de patriotisme assimilationniste équivaut à une preuve de quotient intellectuel négatif.

2 réflexions sur “« Brassards LGBT » de la Coupe du Monde : l’incroyable pleutrerie de nos élites

  • jean-Louis Roba

    Notre Ministre(sse) des Affaires etrangères est allée faire la sotte avec son brassard. Outre le fait qu’elle ne respecte pas les us et coutumes de son pays hôte (même si elle ne les apprécie pas), croit-elle qu’elle obtiendra du gaz et du pétrole locaux en offensant ceux qui la reçoivent?

    Répondre
  • Goreux Jacques

    Notre Ministre(sse) se gave avec l’argent du (con)tribuable belge. Et fait preuve de manque de respect envers le Qatar. Quand on a l’honneur d’être reçu dans un pays, on a l’obligation de respecter ce pays, ses lois, ses coutumes. Manque d’éducation de la part de cette femme, des journaleux qui s’extasient devant son outrecuidance. Je suppose que c’est très agréable de voyager sans débourser le moindre centime. Alors que des Belges ont de plus en plus difficile à vivre. Espérons qu’en 2024 l’électeur dans le secret de l’isoloir essaiera de balayer du pouvoir ces partis qui nous spolient tous les jours.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *