Molenbeek : Mireille, 57 ans, obligée de quitter son logement à cause de l’insécurité produite par la communauté rom
Aux abords de la station métro Beekkant à Molenbeek se trouve un camp de roms comprenant une vingtaine de cabanes de fortune. Mireille, 57 ans, ne peut plus supporter la présence de cette population vagabonde. “Ils sont bien installés et ça ne dérange personne ?” se demande-t-elle.
Cloaque abject et répugnant. Comment peut-on vivre là-dedans ? Mireille est courageuse de s’être aventurée dans cette antre de l’enfer ; imaginez la nature des bactéries qui doivent y pulluler.
Non, visiblement, ça ne dérange personne. La commune est au courant de la situation mais n’a pas la moindre intention de démanteler de camp ni d’expulser les gitans en situation irrégulière sur notre territoire. Rachid Barghouti, attaché de presse de la bourgmestre socialiste Catherine Moureaux déclare que “A l’initiative de Mme Moureaux, la problématique a été prise en charge par les services de la prévention et sociaux“. Et d’ajouter : “Ce sont des Roms de transit, ils viennent quelques semaines et repartent aussitôt. Ils n’ont pas de statut, ils sont apatrides“.
On ne peut pas expulser des apatrides, me dira-t-on, car ils n’ont nulle par où aller. Il existe pourtant une solution : les eaux internationales.
Légalement, rien ne nous empêche d’y expulser les clandestins.
“Nous mobilisons nos services sociaux, les médiateurs Rom, le dispositif sans-abri de la commune et nos gardiens de la Paix qui se rendent régulièrement sur place pour analyser la situation. Une aide alimentaire est envisagée” précise encore Rachid Barghouti. Non content de ne pas les expulser, il faudrait en plus dépenser de l’argent pour une population de transit qui n’apporte rien à la communauté nationale et qui, si l’on en croit les statistiques, est surreprésentée dans le milieu du crime.
Le terrain que squattent actuellement les Roms appartient à la société Infrabel ; cette société semble particulièrement généreuse puisqu’elle a déclaré qu’elle n’interviendrait que “s’il y a un risque pour la sécurité des voyageurs ou pour l’exploitation ferroviaire, ce qui n’est pas le cas actuellement“. Même son de cloche du côté de la commune : “Nous n’avons pas vocation de les expulser, sauf si cela devient dangereux. Le campement ne pose pas de problème de sécurité immédiate avec les riverains “.
Ce n’est pourtant pas l’avis de Mireille.
“J’ai de plus en plus peur de sortir dans ce quartier. Le métro est sale et moche. Ça fait plus de cinq ans que la passerelle de la station est démontée, les bâches se sont envolées. Le quartier est laid“. Après négociation avec une institution sociale, Mireille va finalement devoir déménager à trois kilomètres de là, elle qui habite le quartier depuis vingt ans : “toute cette insécurité trop stressante m’empêchait de dormir“.
Les Roms ont gagné : c’est Mireille qui doit partir.
Source : RTL
Une pensée pour les propriétaires de logement de ces quartiers qui ne peuvent pas se mobiliser si facilement pour partir, ainsi bien sûr qu’a Mireille, qui je l’espère trouvera son bonheur ailleurs.
Par les eaux internationales, intéressant de développer cette idée.
Je songeais plutôt à devoir concéder du territoire en bord de mer (attraction), car j’ai saisis que ces migrant ne nous lâcheront pas de si tôt, pensez donc une classe moyenne encore productive d’une manne de plusieurs milliards d’euros, y en a pour le toutlemondisme.
Mais comment pouvons nous être tranquille quand cela grouille dans les “quartiers”, quand je vois quantité de magasins qui vendent des futilités en plastique et que de l’autre côté la racaille ne pensent qu’a drogue, arme, et prédations…
Molenbeek la commune où il fait bon vivre…..