Le discours du roi : un condensé de niaiseries venant d’un menteur pathologique

Comme chaque année, le roi Philippe nous a infligé un discours pathétique et niais à l’occasion de la fête de Noël mais je dois admettre que cette année, le souverain du plat pays a battu tous les records.

Il y a deux problèmes dans l’allocution du roi : le fond et la forme. Trois, si l’on compte Philippe lui-même.

Le souverain transpire la soumission et celle-ci se traduit par une posture alambiquée : jambes croisées, visage crispé, mains collées au corps. Regardez la façon dont il s’accroche à ses guibolles de skinnyfat :

Un point de détail ? Selon Jean-Pierre Veyrat, créateur de la morphogestuelle et expert en analyse du comportement observable, “les mains qui s’éloignent du corps témoignent souvent de la véracité du discours et viennent renforcer celui-ci telle une illustration”. Au contraire, des mains qui restent proches ou au contact du corps indiquent que l’interlocuteur n’est pas à l’aise, voire qu’il ment.

Philippe n’est pas à l’aise, c’est une évidence. On pourrait croire qu’il a un flingué collé sur la tempe au moment où il enregistre cette vidéo ; sa prestation ne serait pas différente d’un iota. Mais ment-il ? Sa voix est tremblotante, criarde. Il sait qu’il raconte des niaiseries juste bonnes à rassurer les bas QI.

Le moment le plus intéressant vient lorsqu’il prononce ces mots :

“Les défis actuels nous concernent tous, par-delà les frontières, et sont liés entre eux. C’est vrai pour les pandémies, comme pour la relance économique, la lutte contre la pauvreté, les questions migratoires et le changement climatique.“

Le citoyen lambda passera à côté de cette phrase sans y prêter attention mais c’est là le tournant du discours : Philippe nous annonce qu’il souscrit pleinement au plan de gouvernement mondial théorisé par Jacques Attali et Bernard-Henri Lévy pour arbitrer les problèmes économiques, migratoires et climatiques que connait l’Europe de l’ouest. Il admet entre les lignes qu’il souscrit aux propos de Klaus Schwab lorsque celui-ci prétend que la crise du covid-19 est une opportunité… mais une opportunité pour quoi, sinon un gouvernement mondial ?

Car si “les défis actuels nous concernent tous, par-delà les frontières, et sont liés entre eux”, alors la seule solution logique consiste à prendre des décisions communes via un organe de décisions centralisé pour y faire face. Mais le roi des Belges ne peut être aussi transparent, alors il joue au crypto-mondialiste.

À aucun moment Philippe n’évoque la souveraineté des Belges ; à aucun moment Philippe n’évoque les vrais problèmes : la submersion migratoire du pays et l’invasion de nos contrées par des hordes d’orientaux et d’Africains à bas QI, la baisse du quotient intellectuel moyen, la fuite des cerveaux, la désindustrialisation, la corruption, l’effet dysgénique et l’anéantissement biologique des Européens, la non-indépendance énergétique, la mainmise des marxistes sur la sphère culturelle et les médias, le laxisme judiciaire, et j’en passe.

Au lieu de cela, Philippe déblatère au sujet d’une pandémie qui ne touche que les vieux et les obèses, et du dérèglement climatique ─ il prétend même que les inondations de juillet sont le fait de ces dernières alors que cette thèse est très loin de faire l’unanimité au sein de la communauté scientifique.

La vérité est que Philippe est un fonctionnaire de l’appareil d’État européen ; un technogestionnaire sponsorisé par une hyperclasse mondiale, sûre d’elle-même et dominatrice, qui sort sa marionnette à l’occasion du 21 juillet et le soir de Noël pour rassurer la plèbe, car la plèbe a un besoin irrépressible de figure paternelle ─ mais une figure paternelle soumise en costard, un François Hollande mais sans le scooter de livreur de pizzas.

Je l’ai déjà affirmé à plusieurs reprises : l’État belge ne pourra pas perdurer sur le temps long. Son fonctionnement repose entièrement sur des rouages de corruption et de magouilles politiciennes ─ un État profond ─ qui détruisent le pays année après année. Philippe est le digne représentant de cet État lâche en pleine agonie ; je ne m’en émouvrai pas.