Le CSA bouillonne de rage parce qu’il y a trop de blancs à la télévision
C’est logique ; s’il n’y a pas assez de, alors il y a trop de quoi ?
« La diversité dans les médias fait l’objet d’une certaine stagnation, à l’exception de la visibilité des femmes, selon le dixième baromètre de l’égalité et de la diversité dans les médias du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) publié lundi.
L’étude pointe le manque de visibilité des personnes issues de la diversité dans les différents programmes audiovisuels. Cette représentation n’a augmenté que de 1% entre 2011 et 2021, et a même connu une tendance à la baisse entre 2017 et 2021. Une décroissance significative a même été constatée dans les programmes de fiction (-18%) et de divertissement (-10%).
Les personnes en situation de handicap sont quant à elles pratiquement absentes des programmes. Elles représentent 0,47% de l’ensemble des intervenants observés et sont très majoritairement sollicitées pour des sujets spécifiquement liés au handicap (81%). Les rôles les plus valorisés socialement sont par ailleurs ceux où la présence des personnes en situation de handicap est la plus faible. Ainsi, aucune d’entre elles n’occupe le rôle de journaliste-animateur. »
Le rêve des dirigeants du CSA est de remplacer les Européens ethniques par des unijambistes subsahariens :
Des obèses dravidiens trisomiques aux clavicules courtes :
Et des femmes naines aux protubérances graisseuses apparentes :
Le président du CSA Belgique n’est autre que le maghreboïde Karim Ibourki, ex-porte-parole de Rudy Demotte et ex-directeur de la communication du Parti Socialiste. Autant dire que le Sultan Ibourki possède derrière lui les rouages de la mafia la plus importante en Wallonie : le Parti Socialiste. Et Ibourki estime qu’en 2023, il y a encore trop d’Européens ethniques dans le pays que ses ancêtres arabo-berbères ont envahi.
« On a une télévision qui est relativement monochrome, ce sont des hommes blancs plutôt âgés, plutôt de catégories socio-professionnelles supérieures, s’exprime Ibourki. On met ces études dans le domaine public pour qu’il y ait un dialogue avec les acteurs. Pour qu’on se rende compte qu’on peut se tirer une balle dans le pied en agissant de la sorte. Il y a des encadrements plus forts dans le cadre du contrat de gestion de la rtbf. Le gouvernement a décidé de favoriser une plus grande diversité et une plus grande présence de femmes à l’écran aussi. Pour le monde privé, ça fait partie des questions stratégiques, de survie à traiter. Est-ce que les programmes que nous faisons donnent suffisamment la représentation et la parole au public auquel on s’adresse »
Vous avez compris : remplacer les Européens ethniques par des hordes de marrons issus du tiers-monde n’est pas une option ─ c’est une nécessité, une question de SURVIE pour la société cosmopolite.
Le CSA, en bon représentant de la cause racialiste allogéniste, s’est d’ailleurs laissé aller à un exercice que je trouve formidable : les statistiques raciales.
Le monde se porterait mieux si les statistiques raciales étaient autorisées en Europe de l’Ouest. Tout deviendrait limpide et transparent.
Il manque toutefois une origine dans les statistiques présentées par le CSA. Une origine qui pourtant explique tout. Saurez-vous la retrouver ?
Bonjour, j’écris ce commentaire pour vous faire part d’une proposition d’article issu de mon vécu (je suis wallon). Je suis en rhétorique et ces deux ou trois dernières semaines, mon école a organisé deux animations pour le moins inquiétantes. L’une venait du CPAS de ma ville et durant une après-midi, des migrants africains ainsi que leur PAN sont venus nous expliquer le rôle du CPAS et pourquoi les migrants sont des personnes géniales. La deuxième était la venue de deux jeunes femmes (dont une juive), elles appartenaient à un groupe de défense des transsexuels/non-binaires. Ces gourgandines nous ont parlé pendant deux heures, évoquant même le changement de sexe et pourquoi il était bénéfique… Encore plus étonnant, leur organisation a organisé un spectacle de drag queen devant des enfants allant jusqu’à 5 ans, en parlant du changement de genre et de la possibilité, encore une fois, de changer de sexe. On peut dire que ces deux expériences m’ont conforté dans le choix de partir dans un pays d’Europe de l’Est. Voilà tout ce long développement pour dire qu’un article sur ces phénomènes serait le bienvenu.
Bonjour Gabriel. Nous pouvons poursuivre la discussion en privé ; envoyez-nous un mail sur : [email protected]