La tuberculose propagée par l’immigration de masse

Bruxelles, lieu d’arrivée principal des immigrés extra-européens, est atteinte par une recrudescence de la tuberculose, grave maladie respiratoire causée par une infection bactérienne.

Si vous devez vous déplacer aux abords du Parc Maximilien, prenez soin de vous munir d’un masque et de vous désinfecter les mains.

On observe le même phénomène au Royaume-Uni, en particulier dans les grandes villes comme Londres, Manchester et Birmingham qui abritent de grandes populations d’immigrés extra-européens. En témoigne cette étude médicale où l’on tente de ménager la chèvre et le chou : tenter de freiner la propagation de cette épidémie sans remettre en cause l’immigration de masse en provenance du tiers monde. Néanmoins il n’y a rien d’étonnant à ce que l’afflux de populations en provenance de pays barbares dont le systèmes de santé ne sont en rien comparables aux nôtres cause une multiplication des cas de maladies infectieuses, pour certaines oubliées sur notre continent.

A la fin du XIXe siècle, quand des populations entières immigraient aux États-Unis, ces gens étaient installés en quarantaine sur le réduit d’Ellis Island, au large de New York. Ils y étaient scrupuleusement contrôlés, assainis et refoulés pour un bon nombre d’entre eux, en fonction des critères des autorités américaines. De nos jours, dans le monde du Pacte de Marrakech approuvé par Charles Michel, il n’est guère permis d’avoir un peu de bon sens et de vouloir stopper net l’immigration de masse, indiscriminée et sauvage que nous connaissons aujourd’hui.

Source : LaLibre