A la uneÉpinglésSécuritéSociété

Frasnes : des Roms se font passer pour des réfugiés Ukrainiens, explosent un gîte et insultent la patronne

Voilà ce qui arrive quand on n’est pas foutu de faire la différence entre des Ukrainiens indo-européens descendants des Vikings et des bohémiens prédateurs nomades qui vivent comme des clodos dans des roulottes depuis mille ans.

À Frasnes, le gîte Le Grand Rieu a eu l’amabilité il y a deux semaines d’accueillir des réfugiés ukrainiens ─ quelle ne fut pas la surprise de la patronne lorsqu’elle découvrit à quel genre de loustics elle avait à faire.

« Nous avons accueilli ces gens mais à leur arrivée, ils ne voulaient pas sortir du bus. Ils étaient au nombre de huit, et quand ils sont enfin descendus, ils ont dit “ce n’est pas une villa avec piscine ?”. Ça nous a déjà un peu choqués. Ils ont insulté la dame qui tient le gîte, ils ont pris possession des lieux plus que ce qui leur était attribué, on en a retrouvé dans la pelouse du voisin, ils ont tenté de fracasser la porte de la concierge »

« La cohabitation était impossible avec les autres Ukrainiens logés sur place. Ces réfugiés roms ont dégradé des choses dans le gîte. Ils ont aussi refusé de monter dans le bus pour aller s’inscrire à la commune. Et quand ils sont partis, ils ont emporté tous les vivres. Ils ne sont restés que deux jours mais ça a été un carnage ! Je tiens par contre à souligner que les autres Ukrainiens que nous avons accueillis sont très gentils ! »

On appelle ça le multiculturalisme. Bizarrement, cette idée de faire cohabiter des peuples de natures très différentes sur un même territoire ne semble pas fonctionner aussi bien que prévu. Les forcenés de l’immigration affirmeront que ça ne fonctionne pas parce que les peuples ne sont pas suffisamment mélangés ; peut-être voudraient-ils rajouter quelques Érythréens et quelques Guatémaltèques au Grand Rieu pour une organiser une grande fiesta multicolore ?

Je me demande ce qu’en penserait la patronne.

Source : sudinfo

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *