Vlaams Belang vs PTB : vers un éclatement imminent de l’État belge
Le sondage des intentions de vote réalisé par Ipsos est révélateur d’un mal profond qui gangrène la société belge : un État, deux nations, deux choix de société.
Le clivage s’accentue depuis des années, chacun s’enfermant dans son paradigme : pour les Flamands, le vote libéral-conservateur ; pour les Wallons, le vote socialo-marxiste.
À terme, une scission du territoire est inévitable.
La Belgique est un État ploutocratique ingouvernable qui ne peut subsister que par la formation d’alliances de circonstances et de coalitions au lendemain des élections ; le résultat, c’est qu’aucun des partis désignés par le peuple n’est aujourd’hui membre du gouvernement.
Pas un seul ministre NVA ni Vlaams Belang alors qu’ils sont les deux premiers partis du pays. Les représentants politiques belges se gaussent à cracher sur les régimes forts de Poutine, d’Orban et de Morawiecki alors que Wallons et Flamands des castes traditionnelles fomentent dans le but de maintenir leurs privilèges et leur mainmise sur l’État. Agissant comme des rats, ils accaparent les institutions publiques pour assurer leur propre pérennité et imposent leur paradigme cosmopolite, progressiste et libéralo-capitaliste au monde occidental.
La Belgique est le meilleur argument contre la démocratie. Les quelques militants d’extrême-gauche qui me liront ne seront pas en désaccord avec mon propos dans la mesure où leur parti-phare, le PTB, est lui aussi exclu du jeu des négociations.
Selon le sondage réalisé par Ipsos entre le 25 mai et le 1er juin, voici les résultats des élections si celles-ci avaient lieu demain :
PS (gauche) + PTB (extrême-gauche) = 44% en Wallonie.
NVA (droite) + Vlaams Belang (extrême-droite) = 47.9% en Flandre.
L’inéluctable éclatement du territoire qui résultera de cette dichotomie est une nécessité historique.
Il est important de comprendre qu’un effondrement politique des États d’Europe de l’Ouest n’est plus évitable : la politique d’immigration massive mêlée à l’assistanat dysgénique promu par les gouvernements occidentaux ces cinquante dernières années va provoquer dans les prochaines décennies un affaissement sécuritaire, économique, écologique et sanitaire du territoire. La seule question est de savoir : quand la chute aura-t-elle lieu ?
Car plus nous attendons et plus il nous sera difficile de reconstruire un État fonctionnel en de brefs délais. Plus nous attendons et plus la situation se délite. Plus nous attendons et plus ils se multiplient.
La première chose à faire est d’accélérer la chute de l’État pour que la dislocation de la Belgique soit effective. Autant que possible, il faut favoriser en Flandre le vote de droite et en Wallonie le vote de gauche pour pousser les antagonismes jusqu’au terme de leurs limites. Devant la colère populaire qui résultera de cette situation inextricable, alors des masses surgiront les bâtisseurs d’une nouvelle ère prêts à reconstruire un État sain, débarrassé des parasites qui l’empoisonnent et le sappent depuis des décennies.
D’autres se rallieront à nous, eux aussi lassés par les élites corrompues qui les dirigent, pour créer ce nouvel État sur un territoire historique qui fit la grandeur de notre nation.
De tous les avenirs possibles, celui-ci est le seul viable.
Source : RTL
Ping : Grand Baromètre : chronique d’un éclatement inéluctable II – Belgica News