Une abominable goule brune multirécidiviste tabasse et viole une bioingénieure blanche !
Mercredi 28 décembre 2022, 20h30, Marie (nom d’emprunt) quitte la bibli dans laquelle elle bosse depuis 7h du matin. Il faut se lever tôt pour avoir une place, et puis c’est pas en se tournant les pouces qu’on devient bio ingénieur. Qui donc fera taire les écolos du dimanche si ce n’est Marie avec le double doctorat scientifique auquel elle inspire ? Marie rêve d’aller au fond des choses et d’élucider les mystères de la nature pour rendre service à l’humanité et sauver les animaux. Elle travaille donc comme une véritable esclave du matin au soir pour devenir une scientifique de pointe. Voilà comment Marie s’est retrouvée à l’ULB à 20h30. On travaille mieux à la bibli que chez soi avec deux parents hippies qui jouent du didgeridoo.
Notre graine de scientifique se dirige alors vers le tram, le sac rempli de ses cours pleins de calculs sans queue ni tête, pendant que ses petits compatriotes cuvaient encore Noël et l’anniversaire de bobonne en se préparant au nouvel an..
Mais Marie n’était pas la seule à renoncer à la légèreté des fêtes (il y avait moi aussi forcément mais ça n’est pas le sujet).. Tapi dans le noir, Aboubacar (nom d’emprunt) lorgnait sur les petits culs blancs à haut QI qui se précipitaient à l’abri entre les gouttes de pluie. Aboubacar, qui venait de sortir de prison après y avoir séjourné 14 mois (c’est à dire moins du dixième de mes études) suite à une altercation avec l’un de ses amis qui s’était conclue par un éclatage de gueule à coup de barre à mine et achevage à coup d’acide sulfurique, rien que ça ! Ayant entraîné la mort ! 14 mois de prison ! C’est toujours plus que monsieur V. Renoir qui a été incarcéré 9 mois pour des flyers mais quand même un peu moins que monsieur H. Riz Sun qui est resté enfermé 17 mois pour une couverture de livre moche..
Aboubacar est donc pris d’une furieuse envie de résoudre des systèmes d’équation et s’élance à la poursuite de Marie pour lui offrir une part de boudin noir de Noël. Heureusement pour Aboubacar, et c’est un élément capital de l’histoire, l’ULB n’avait pas payé sa facture d’électricité et les lampes du chemin étaient éteintes. S’il y avait eu seulement un peu de lumière, Marie aurait pu lui savater la tête sans s’essouffler mais malheureusement ça n’était pas son jour de chance.
Aboubacar lui pulvérisa donc la tête comme le dernier des mandrills enragés avant de s’essuyer le chibre dans son petit vagin encore tout serré. Les multiples fractures du crâne différencieront ce viol véritable du traditionnel viol de Magalie par son copain un jour où elle était fatiguée. Marie a bel et bien été vraiment violée par un gros migrant psychopathe meurtrier et probablement schizophrène, elle s’est défendue alors il a frappé jusqu’à ce qu’elle ne bouge plus comme le ferait tout gentleman payeur de pensions de boomers.
Après avoir bien nuté tout son jus séminal aussi loin qu’il le pouvait dans le ventre de Marie, il s’en alla fumer une clope sans même lui dire au revoir, sans même un bisou. Marie demeura alors plusieurs minutes sous la pluie complètement cataplexique et dans un profond déni. La douleur était intense, diffuse, sa vision brouillée par le sang et les larmes, elle sentait des dents qui bougeaient anormalement dans sa bouche où Aboubacar il y a encore quelques instants venait de fourrer sa langue villeuse noire.. Il fallait bien qu’elle se lève à un moment, ce qu’elle fit. Parce que sinon personne n’allait venir, vu que personne n’était venu. Et c’est ainsi que Marie rentra chez elle à pied pleine de sensations nouvelles et probablement indélébiles pour certaines.
Nous pouvons deviner la suite de l’histoire pleine de rebondissements de Marie, notamment qu’elle ne se termine pas par un diplôme de bioingénieur.
Il est maintenant l’heure d’observer les retombées de l’affaire et d’un peu se moquer de l’urbanite bruxellois qui tente de condamner et pardonner le crime en même temps.
« Toutes mes pensées vont vers la victime de la terrible agression sexuelle qui a eu lieu il y a quelques jours sur le campus de la Plaine », insiste Annemie Schaus. « Nous l’avons contactée dès que nous avons été avertis de l’agression dont elle a été victime, afin de lui apporter notre aide et lui signifier notre sympathie. Les violences à caractère sexuel sont intolérables. L’université mène depuis plusieurs années une politique volontariste pour les endiguer. Nos campus universitaires doivent être des lieux sûrs pour toutes et tous. »
Exactement le même discours qu’en cas de main au cul. Nous sommes soulagés de voir que l’université mène depuis plusieurs années une politique volontariste pour endiguer les passages à tabac, viols et autres tentatives de meurtre. C’est important de le préciser, ça n’est pas comme si c’était du bon sens ou simplement déjà interdit par la loi. Le mail de madame Schaus réconfortera à coup sûr Marie si elle arrive à le lire avec ses yeux à demi énucléés ou diplopiques post traumatiques.
Pour soutenir la jeune Marie, ses petits camarades d’extrême droite ont organisé un rassemblement afin de récupérer l’incident comme des sales racistes et fustiger les pauvres migrants noirs du pays. Oups je me suis trompé, ce sont en fait des gauchistes qui veulent récupérer l’incident pour condamner l’ensemble des hommes et ça c’est pas grave c’est normal.
Pour bien éviter les détails qui fâchent, ces individus pas du tout dans le déni commencent même à accuser les lampes d’être fautives.. Par leur absence.
Un migrant tape une étudiante. Que faut-il faire ? Comment faut-il réagir ? Facile : installer plus de lampes. Comme ça les migrants pourront mieux voir les nichons des victimes qu’ils violent je suppose !
Pour éviter le viol de Marie, il aurait suffit de dire à Aboubacar que violer c’était pas bien ! Comment n’y avons nous pas pensé ?? Bon Aboubacar, tu ne recommenceras plus j’espère, sinon tu iras en prison. Ah oui c’est vrai tu y es déjà allé 14 mois pour meurtre à coups de barre de fer arrosé d’acide sulfurique… Peut-être alors que Hermine fleur de cactus t’expliquera mieux que moi..
RTL omet d’interviewer des blancs comme par hasard, et surtout oublie que les hommes existent. Les étudiantes interviewées, elles, n’oublient pas les hommes. Elles parlent d’étudiantEs sexuellement agressées par des hommes. On aurait pu penser que les garçons aussi en avaient marre des migrants mais il semblerait que le problème est tout autre. Marie n’a pas été sauvagement tabassée et violée par un migrant, elle a subi une violence sexiste de la part d’un homme. Et c’est un problème récurrent dans l’université. Moi je pensais qu’à l’université il y avait des étudiants qui faisaient leurs devoirs, et que les campagnes anti harcèlement visaient les méchants professeurs de droite ou bien les étudiants un peu dragueurs mais en fait non, ça parlait des migrants noirs meurtriers multirécidivistes récemment sortis de prison ? Il y en a tant que ça dans les universités ? Très étrange.
Voici donc les parents de la petite Marie, deux blancs comme neige, ce qui prouve qu’Aboubacar a bien choisi sa proie, alors que, comme le reportage de RTL l’a démontré, il faut bien chercher pour trouver deux yeux bleus à l’ULB. On peut aussi voir à leur attitude et à leurs physionomies qu’ils sont deux immenses gauchistes. J’aurais bien voulu entendre le discours de cet homme qui n’a certainement pas évoqué les couleurs foncées à part pour insulter la nuit ; malheureusement il est introuvable.
Pour clôturer cet article, rappelons nous qu’il y a encore deux mois l’absence d’éclairage était une volonté politique de ces mêmes gens afin de sauver la Terre.