PS et Écolo exhortent Sammy Mahdi à régulariser les immigrés clandestins grévistes
L’amour des socialistes et écologistes pour les immigrés est sans limite.
Anne Lambelin (vice-présidente PS), Paul Magnette (président PS), ainsi que Rajae Maouane et Jean-Marc Nollet (co-présidents Écolo) ont rédigé une carte blanche commune dans laquelle ils exhortent le secrétaire d’État à l’asile et la migration, Sammy Mahdi, à régulariser les immigrés clandestins qui ont décidé de se priver de McDonald’s pendant quelques jours.
« Cela fait plus de 50 jours que plusieurs centaines de femmes et d’hommes sans-papiers ont arrêté de se nourrir au risque d’y laisser leur vie. Ils occupent les locaux de l’ULB, de la VUB et de l’église du Béguinage à Bruxelles. La plupart d’entre eux sont des travailleuses et des travailleurs, présent.e.s sur notre territoire depuis de nombreuses années ; leurs enfants fréquentent nos enfants à l’école ou dans des activités parascolaires.
Cette grève de la faim est un cri de désespoir poussé par des personnes épuisées de vivre dans la précarité, l’insécurité et la peur, et éreintées par la crise sanitaire qu’elles ont traversée.
Face à l’urgence absolue de la situation, c’est désormais ensemble que nous prenons la parole dans l’espoir de donner plus de force à notre appel à l’action !
L’attente n’est plus une option tant la catastrophe est imminente. L’inaction devient, quant à elle, coupable dès lors que des solutions humaines et pragmatiques sont à portée de main. Il est temps d’y œuvrer pour mettre un terme à cette grève de la faim et préserver la vie de personnes qui n’ont plus que leur corps pour dire leur désir d’exister et de s’intégrer dans la société.
Nous en appelons à un sursaut d’humanité, de solidarité et de courage politique. Nous joignons notre voix aux nombreux appels des syndicats, du patronat, de la société civile, du Grand Rabbin de Bruxelles et de l’Église catholique pour qu’au désespoir des grévistes réponde la main tendue du gouvernement.
Certes, l’accord de gouvernement ne prévoit pas une régularisation collective des personnes sans-papiers, mais il ne justifie, en aucun cas, que l’on laisse, sans aucune perspective, des femmes et des hommes en situation de désespoir total et de danger de mort.
Nous exhortons le Premier Ministre et le Secrétaire d’État Sammy Mahdi à trouver, en concertation avec les représentants des grévistes, une solution pragmatique, humaine et digne, pour mettre fin à ce calvaire. Le Secrétaire d’État a le pouvoir juridique de le faire en mobilisant les leviers dont il dispose dans le cadre de ses compétences propres, au vu des circonstances exceptionnelles et de la situation sanitaire et médicale dans laquelle les grévistes se trouvent.
Aujourd’hui, l’heure est à l’urgence absolue.
Demain, nous, progressistes, devrons retrousser nos manches pour déployer des solutions structurelles, telles que l’établissement de critères clairs de régularisation, la création d’une commission indépendante, et plus généralement, d’une politique d’asile et de migration portée par le souci du respect des droits fondamentaux.
Nous rappelons également que l’intégration des étrangers sans-papiers ne répond pas qu’à des exigences humanitaires et sociales. C’est aussi l’occasion de renforcer la protection sociale et le marché du travail en répondant aux besoins de secteurs-clés de notre économie et en rompant avec les pratiques d’exploitation des travailleurs étrangers sans-papiers.
Enfin, nous saluons le travail de nos mandataires, qui, à tous les niveaux de pouvoir, n’ont de cesse d’agir pour alléger le fardeau des personnes sans-papiers et veillent à ce que notre pays soit au rendez-vous de ses valeurs d’humanité et de solidarité. »
Le substrat de cette carte blanche est limpide : il n’y a actuellement pas suffisamment d’immigrés du tiers-monde sur notre continent selon les traîtres écolos et socialistes. Ils en veulent plus, beaucoup plus ; leur rêve est de voir l’Europe submergée par des millions d’allogènes pour que les Européens ethniques deviennent une minorité parmi d’autres. Ce projet porte un nom : le Grand Remplacement.
Notez le champ lexical employé par les amoureux des immigrés. Droits fondamentaux, dignité humaine, respect, culpabilité… les progressistes en appellent à votre mauvaise conscience et instrumentalisent l’affaire des grévistes pour accomplir leur projet de destruction de la civilisation européenne.
Question : pourquoi seuls les Occidentaux, les Européens ethniques, les Blancs devraient-ils écoper de ce fardeau ?
Car non, l’immigration de millions d’immigrés à bas QI ne va pas résoudre le problème de la productivité, de l’industrie, des retraites ni de la dette publique face à une Chine en pleine expansion qui manipule le génome humain pour améliorer les capacités cognitives de ses bébés.
Nos petites têtes progressistes pensent qu’importer des Maliens pour en faire des chauffeurs Über va sauver l’économie européenne. Grosse erreur. C’est sans compter sur :
L’évasion des capitaux dans les pays d’origine des immigrés ;
Le coût de l’immigration clandestine ;
Le coût de la politique d’asile ;
La prise en charge des étudiants étrangers ;
Le coût de la santé ─ selon l’institut Robert Koch, les migrants représentent en Allemagne en 2015 40% des nouvelles infections au VIH et le risque de psychose et de schizophrénie est trois fois plus important chez les subsahariens ;
Les plans banlieue ;
Le coût de l’insécurité ;
La lutte contre le terrorisme ;
…
Cette liste est sans fin. Une étude a démontré qu’au Royaume-Uni, de 1995 à 2011, l’immigration européenne a rapporté 4 milliards de livres quand l’immigration extra-européenne en a coûté 118 milliards, mais l’amour des Uruk-hai est plus fort que la mort.
Cette affaire n’a pas fini d’être instrumentalisée ; j’attends de voir la réaction de Sammy Mahdi lorsque le premier clandestin gréviste passera l’âme. Tout cela est peut-être orchestré par l’État lui-même afin de parachever l’anéantissement du peuple belge.
Source : RTBF