Mons : un porc viole ses nièces et est relaxé car il y a prescription des faits
Le 6 septembre dernier, le tribunal correctionnel avait condamné un homme à cinq ans de prison avec sursis pour viol et attentat à la pudeur commis sur ses nièces dans les années 90.
En 2002, l’une de ses nièces l’a dénoncé en évoquant des fellations forcées ─ elle tenta de mettre fin à ses jours. En 2011, une autre nièce évoqua des affaires de moeurs au sein de la famille qui furent une fois encore étouffées. En 2018, elle parvint à obtenir des aveux de la part du Montois qui affirma “avoir secoué son sexe entre les fesses de sa nièce, sans la pénétrer.”
Sur base de ces éléments, la quatrième chambre correctionnelle de la cour d’appel a rendu un arrêt jeudi dernier déclarant que les faits étaient prescrits. « À les supposer établis, il apparaît impossible de déterminer avec précision la date des derniers faits commis », a noté la cour dans son arrêt. La période infractionnelle s’était arrêtée en février 1993.
Selon l’avocat Frank Discepoli : “le tribunal et la cour n’étaient pas compétents pour juger cette affaire car l’auteur était mineur [au moment des faits]” et “les faits étaient prescrits“.
Discepoli peut être fier de lui d’avoir libéré un porc mentalement déglingué.
Rien ne va dans cette affaire.
La condamnation du tribunal correctionnel en septembre aurait dû être beaucoup plus sévère et ne pas se limiter à du sursis ─ dans un monde qui fonctionne, les hommes qui attouchent et violent des enfants ne sont pas condamnés à de la prison avec sursis mais sont pendus à un arbre en place publique.
Ensuite, la décision de la cour d’appel fut décidée par la prescription des faits qui, au vu de la nature des agissements du prévenu, me provoquerait un fou rire si la situation n’était pas épouvantable. La prescription devrait être inopérante pour une série de crimes et délits dont les viols d’enfants ─ un individu qui agit de la sorte est un danger public doublé d’un déglingué mental dont il faut se débarrasser pour le bien de la société. Il ne s’agit pas de vengeance ; il s’agit de mettre fin à une forme de vie impure qui contrevient aux lois d’airain de la Nature.
Que les malades mentaux agissent comme des malades mentaux, c’est le cours naturel des choses ─ et c’est aux hommes de Bien de réguler la prolifération de ces parasites.
Ce qui n’est pas pardonnable, c’est le laxisme judiciaire ; la non-exécution des peines ; les non-condamnations ; les demi-mesures de la part d’un système judiciaire à bout de souffle ; la complaisance des juges et des avocats pour les déchets biologiques qui pullulent en Europe de l’Ouest.
Source : SudInfo
Laxisme habituel et retard de la justice vu le manque de moyens voulus par certains. Un bon remaniement et prise de conscience serait nécessaire. Mais qui osera?