Mons : l’horreur contemporaine “The Passenger” enfin déconstruite
Il était plus que temps de démonter cette chose.
Depuis fin 2014, une immonde structure en bois multicolore surplombait une rue du centre-ville de Mons, en face du vieux palais de justice.
400 000 euros de planches en bois aux couleurs de l’arc-en-ciel pour un tel résultat :
L’auteur de l’oeuvre, un dénommé Arne Quinze, n’en est pas à son coup d’essai. Voilà plusieurs années que l’artiste pollue l’espace public à travers ses créations malsaines et pachydermiques dans le monde entier :
Le point positif avec ces oeuvres qui ne servent à rien, c’est qu’elles ouvrent des perspectives métaphysiques en nous renvoyant à notre propre utilité… l’Homme face à l’Absurde.
Peut-être son auteur – sous ses faux airs de Claudy Focan – est-il un esprit éclairé moderne ; un génie incompris en perdition dans une société devenue vide de sens ?
Faut-il pour autant rejeter l’artiste en bloc et le considérer comme un escroc ? Rien n’est moins sûr ; Arne Quinze n’est pas totalement dénué de talent et lorsqu’il se plonge dans la peinture, il est même capable de produire des oeuvres dotées de qualités esthétiques singulières :
J’aime bien les petites fleurs : c’est mon côté sensible.
J’exhorte donc Arne Quinze à cesser ses emphases post-modernes et à renouer avec le Beau dont il est parfaitement capable. Le confinement est suffisamment difficile à supporter pour ne pas avoir à subir en plus la grandiloquence d’un esprit semi-dément lorsqu’on sort de chez soi.
Source : RTBF
De l’art comptant pour rien (de l’art contemporain).
La civilisation du faux : du faux argent, pour acheter du faux art, dans une ambiance de fake news.
Nous sommes dans les temps de la fin, du Kali Yuga comme disent les Hindous.
il essaye…c’est simple…..on parle de lui, c’est le but ! Il est meilleur peintre que sculpteur et ses monceaux de cure dents plaisaient peut-être à qui vous savez, à Mons….