Liège : la cosmopolite Sarah Schlitz participe à une marche réservée aux femmes et aux transsexuels
Secrétaire d’État à l’Égalité des Genres, à l’Égalité des Chances et à la Diversité, la cosmopolite Sarah Schlitz se retrouve une fois de plus au coeur d’une polémique. Pour cause : elle participera le vendredi 3 septembre à une marche interdite aux hommes.
Le thème de la marche sera le coronavirus et ses implications, entre autres sur la gente féminine, qui aurait amplifié “les inégalités sociales, les disparités existantes entre les femmes et les hommes et ont réduit à néant des années de progrès en matière d’égalité“.
Sur le site de l’événement, Etopia indique que l’impact aurait été bien plus important sur les femmes que sur les hommes ; raison pour laquelle la marche admettra uniquement “les femmes et toutes les personnes qui se sentent femmes”.
Sarah Schlitz est une personne passionnante dont chacune des interventions et prises de positions suscite, pour une raison qui échappe à ma compréhension, la polémique au sein de l’espace public.
Je laisse la parole à notre bon Roi Arthur qui a une analyse très fine sur la question :
La planétarienne Schlitz n’est rien de plus qu’une militante d’extrême-gauche qui cherche par tous les moyens à annihiler les reliquats de la civilisation européenne ; son plan luciférien consiste à faire la promotion des minorités visibles et invisibles dans toutes les sphères de la société afin que l’homme Blanc ne trépasse et ne se fonde dans un gigantesque creuset multiracial. Elle est animée par une haine viscérale ─ d’origine vraisemblablement clinique ─ envers nous, les Bâtisseurs du monde occidental.
Vous pensez que j’exagère ?
Le porte-parole de la ministre l’a défendue en déclarant: “Il ne faut pas présenter cet événement comme ‘interdit à’, mais plutôt comme ‘réservé à’. C’est juste une balade entre filles, ce n’est pas une déclaration de guerre contre les hommes”.
Si cet argument fait office de jurisprudence alors j’ai bien l’intention de le reprendre.
Qui sait, moi aussi je pourrais bien me risquer à organiser des événements non pas “interdits à” mais plutôt “réservés à” certaines franges de la population.
Source : DH