“Les racistes et les sexistes n’ont pas leur place à la Défense” : la socialiste Ludivine Dedonder traque les Blancs récalcitrants au sein de l’Armée

Appelez-moi Cassandre : je l’annonçais hier et il ne fallut pas vingt-quatre heures pour que la ministre de la Défense Ludivine Dedonder, promette de purger les Gaulois réfractaires au sein de la Défense.

La socialiste déclare au micro de Matin Première : “Moi je le dis depuis le départ, les extrémistes, comme je l’ai dit pour les racistes ou les sexistes, n’ont pas leur place à la défense, tranche-t-elle. Il y a des sanctions qui sont prévues mais on ne peut pas licencier quelqu’un simplement sur base d’opinions radicales. Mais d’un côté j’aimerais qu’on ne se cache pas derrière ça et qu’on arrête cette banalisation de l’extrémisme parce que c’est ça, d’un côté, que l’on vit“.

La socialiste dénonce une “banalisation de l’extrémisme” alors que plus que jamais, la gauche marxiste et la droite libérale-libertaire détiennent les rennes du pouvoir ─ politique, médiatique et judiciaire ─ et s’assoient main dans la main sur la volonté populaire ; le seul extrémisme qui fasse écho dans la société contemporaine est le despotisme démocratique théorisé par Tocqueville : sa conséquence, l’égalitarisme moderne, devait conduire inéluctablement à la restriction des libertés, à l’affaissement de la volonté de puissance et à la tyrannie d’une minorité active qui a la mainmise sur l’État.

Elle poursuit : “Jusqu’aux récents événements, la hiérarchie militaire avait jugé son comportement peu problématique, après évidemment qu’il est anormal qu’une personne avec un tel pedigree, des opinions radicales, fiché pour sa dangerosité ai accès à un arsenal d’armes. Il n’est pas normal non plus qu’une personne puisse sortir d’une caserne, sans contrôle alors que des règles doivent être appliquées“

Là encore il faut lire la novlangue marxiste : ce que Ludivine appelle une opinion radicale n’est que la critique d’une oligarchie cooptée par un système médiatique et qui organise la paupérisation des nations, la submersion migratoire du continent et la gauchisation des esprits dès le plus jeune âge. Si vous vous opposez à la politique d’immigration de masse, alors vous êtes un radical. Si vous vous opposez au despotisme démocratique, alors vous êtes un radical. Si vous vous opposez à l’enseignement de la théorie du genre aux gamins de six ans, alors vous êtes un radical. En revanche, si vous êtes un antifasciste stalinien qui oeuvre à la disparition des européens ethniques, alors vous êtes subventionné par le pouvoir cosmopolite.

Cette nouvelle religion sécularisée qu’est le marxisme culturel possède ses saints : les opprimés, et ses démons : les oppresseurs, à la tête desquels se trouve aujourd’hui Jurgen Conings : militaire blanc hétérosexuel aux opinions conservatrices. Jurgen est aujourd’hui le symbole de ce que l’État cherche à détruire par tous les moyens ─ mais un symbole monté en épingle, assurément, car je ne crois pas une seconde qu’un réel extrémiste de droite surveillé par l’Ocam eût pu avoir accès à des lance-roquettes dans les toilettes de la caserne.

La ministre termine son allocution en évoquant un “screening régulier de tous les militaires qui ont accès à des lieux sensibles, à des informations sensibles, mais aussi qui sont en possession d’armes et je parle bien de tous les militaires et pas seulement ceux qui sont suivis par le SGRS“. Elle assure que la loi sera modifiée en ce sens et corrobore donc les propos d’Alexander De Croo dont je parlais hier.

La boucle est donc bouclée ; la seule utilité de Jurgen Conings, soit-disant terroriste d’extrême-droite ─ qui n’a attaqué personne à l’instant où j’écris ces lignes ─ aura été de purger la Défense de ses soldats de droite. Échapperont à la purge les homosexuels de gauche et les musulmans tri jontis qui ne balancent pas encore les premier du haut des tours.

Source : RTBF