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Le Menhir est monté au ciel

Dans sa 97ème année , Jean-Marie Le Pen s’en est allé rejoindre ses camarades Roger Holeindre, Alain Delon, Georges Prêtre et bien sûr Léon Degrelle.

Elu député sous la bannière de Pierre Poujade dans les années 50, il s’engage dans les parachutistes pour aller combattre les communistes en Indochine. Il remet le couvert quelques années plus tard en Algérie, où certaines personnes mal intentionnées le surnommaient « monsieur cent mille volts ». Ayant perdu entretemps son mandat de député, il se lance dans l’édition de disques, avec sa société « la SERP ». Après avoir pris la tête du Front National, il redevient député de 1986 à 1988. Son châtiment (pour avoir touché l’héritahe Lambert?), tel Napoléon dans « La Légende des Siècles », aura été de voir sa fille lui succédé. « Montretout, morne plaine ».

Homme plein de culture (il parlait l’Allemand et connaissait des milliers de chansons), la loi de Pareto étant ce qu’elle est, il ne pouvait pas prendre le pouvoir dans le système politique actuel, il est donc devenu le tribun du peuple.

Là où il est, il fait courir tous les rouquins pour l’éternité.

Osanna in Excelsis du Requiem de Fauré

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