La finance cosmopolite et apatride profite du trafic de cocaïne via l’Italie
Les journalistes du Financial Times ont révélé en ce début de juillet 2020 qu’entre 2015 et 2019 la N’Drangheta, la mafia calabraise, a pu vendre des obligations à des capitalistes internationaux à hauteur d’un milliard d’euros à travers la Banca Generali.
Il faut savoir que la ‘Ndrangheta est un groupe ultraviolent qui contrôle une bonne partie du trafic de cocaïne qui entre en Europe. Ils terrorisent aussi le petit producteur local en le racketant pour qu’il paie le pizzo, impôt régulier. Ils paralysent ainsi l’économie et la société du sud de la botte italienne.
On comprend donc que les “investisseurs” et les “marchés financiers”, qu’ils soient basés à la City de Londres, à Wall Street, à Luxembourg ou encore à Francfort, toujours si prompts à se présenter comme des philanthropes malgré leur vampirisme professionnel n’ont point de scrupule à entretenir la dépendance des nôtres à des substances hautement dangereuses qui peuvent provoquer des overdoses fatales et des troubles psychiatriques graves.
Dans un contexte de taux d’intérêt négatifs, où l’épargne des gens honnêtes ne rapporte rien et où on force les petits commerces à fermer faute de crédit pour couvrir la période du coronavirus, les autorités du monde occidental ferment les yeux sur le financement par le système financier des activités de la criminalité organisée la plus funeste qui soit .
Il faut également remarquer que la ‘Ndrangheta, à l’instar de Cosa Nostra (Sicile) et de la Comorra (Campanie), vend et achète des drogues de synthèse à des groupes islamistes terroristes (pardon pour le pléonasme), tels que l’Etat islamique/Daesh, ou Boko Haram. Ces groupes de la mafia sont régulièrement loués comme des personnages épiques dans différentes productions de Hollywood – dont on connaît la morale douteuse – alors que ce ne sont que des scélérats infâmes prêts à tuer père et mère pour gagner une vie sans travailler : dès lors ils sont prêts à s’associer avec les pires barbares, y compris ceux qui massacraient au Bataclan, à Maalbeek et à Zaventem. Cette vermine mafieuse qui se présente systématiquement comme étant de braves hommes du peuple soucieux de l’esprit de la famille et de la foi catholique ne sont en réalité que des assassins, traîtres à leurs communautés, à leur nation et à notre civilisation.
On remarquera aussi que ces mafias sont extrêmement habiles quand il s’agit d’obtenir des fonds et subventions de l’Union européenne. De tels scandales sont en effet monnaie courante. L’aveuglement de l’UE sur ce terrible gaspillage, qui constitue donc un financement de la pègre, est tellement éhonté qu’il y a de de quoi se demander si les institutions de cette anti-Europe ne sont pas infiltrées à certains degrés par des agents de ce type de criminalité organisée. Il est judicieux d’avoir à l’esprit que les chrétiens-démocrates du Parti populaire européen, la force politique qui a historiquement dominé le Parlement européen, ont longtemps inclus en leur sein les chrétiens-démocrates italiens de l’archi-corrompu Giulio Andreotti, dont les liens ténus avec la mafia ne sont plus à prouver.
Rappel historique : un certain régime autoritaire avait purgé l’Italie de cette gangrène au début du XXe siècle, mais c’est la soi-disant “libération” de ce pays par les Alliés anglo-américains entre 1943-1945 qui a refait rentrer le loup dans la bergerie. Tapez “Opération Husky” dans Google ou lisez sur cet épisode de l’histoire et vous découvrirez, si vous l’ignoriez, que l’OSS, l’ancêtre de la CIA, a collaboré avec la mafia judéo-sicilienne aux Etats-Unis pour réimplanter Cosa Nostra en Sicile et faciliter le débarquement des GIs. L’homme qui a obtenu le deal pour libérer l’immonde criminel Lucky Luciano en échange de l’implication de Cosa Nostra dans la lutte antifasciste était un certain juge juif nommé Murray Gurfein qui a par ailleurs assisté au Tribunal de Nuremberg.