La démographie noire fait aussi trembler le Maghreb
On parlait déjà au mois de juin de l’année dernière de l’enclave espagnol de Melilla où 2,000 subsahariens (c’est le terme politiquement correct pour dire noirs) avaient attaqué la frontière depuis le Maroc, la police marocaine avait réagi face à cette violence, 37 morts. Depuis, l’invasion des villes marocaines par les noirs africains continuent, ce transforme certains quartiers de ces villes et de créer des tensions ethniques entre les locaux et les “chances pour le Maroc”.
La démographie noire africaine continue d’exploser 4 enfants par femme en moyenne, si rien ne change la moitié de la planète sera à moitié africaine d’ici 2100. L’Europe est particulièrement prisée par ces migrants, mais avant d’arriver sur le sol européen, il faut passer par le Maghreb, tous n’arriveront pas jusqu’en Europe, beaucoup resteront au Maghreb, ce qui ne manquera de changer la composition ethnique du Maghreb. Ils sont de plus en plus nombreux à arriver, et ce qu’on voit n’est que le début.
Après le Maroc, c’est au tour de la Tunisie de réagir par l’intermédiaire de son président, Kaïs Saïed, qui a fait quelques déclarations tonitruantes, n’hésitant pas à parler de complot voulant changer la composition démographique tunisienne via l’immigration massive de subsahariens. Mon dieu encore une théorie du complot d’extreme dr… ah non, ça vient d’un président maghrébin, cette fois.
Il a parlé «hordes des migrants clandestins» dont la présence en Tunisie est selon lui source de «violence, de crimes et d’actes inacceptables». Tiens, tiens ça me rappelle ce qui se passe dans nos contrées.
Dès lors on a vu quelques vidéos où des noirs se faisaient un peu bousculés par des tunisiens sur les réseaux sociaux, les choses s’embrasant un peu.
“Les ambassades du Mali, du Congo et du Burkina-Faso proposent à leurs ressortissants un retour volontaire au pays et leur recommandent de bien se comporter”. Comme quoi il suffit de pas grand chose, juste un peu de volonté, et si c’est nécessaire, employer la force. Un nouveau parti a émergé en 2018, le parti national tunisien, prônant des mesures encore plus strictes que le président Saïed.
On pense ce qu’on veut de Laurent Ozon, il avait prôné une alliance avec les pays maghrébins pour bloquer l’immigration venant des pays noirs africains. Sur le papier ça n’est pas idiot, après tout ça n’est pas déjà ce qu’on faisait avec la Libye de Kadhafi, avant que Sarkozy et Cameron ne décident bêtement, pour des intérêts personnels et pas très net, de renverser le colonel Kadhafi et de détruire la Libye, créant une nouvelle brècle dans laquelle l’immigration clandestine noire-africaine pouvait s’engoufrer. Collaborer avec les pays maghrébins pour bloquer cette immigration et servir de barrière avant l’entrée en Europe, maintenant plusieurs questions se posent et la 2ème partie de ce que préconise Laurent Ozon me plaît beaucoup moins, c’était de ne pas trop attaquer l’islam ici en Europe pour ne pas se mettre à dos les pays maghrébins, et remettre en cause cette alliance, il s’en est même pris à ceux qui attaquaient un peu trop violemment l’islam à son goût. Leurs clandestins, leurs racailles, leurs organisations islamistes et leurs terroristes sont un énorme problème à régler ici en Europe, qu’ils les reprennent donc, je suis persuadé que certains d’entre eux feraient d’excellent gardes-frontières dans le Sahara.
Il y a des préalables à cette alliance, et ça n’est pas sûr qu’on arrive à un accord, je doute qu’ils veuillent reprendre leurs ressortissants, même une partie d’entre eux, mais il ne faut pas leur laisser le choix, ils ne veulent pas de l’immigration subsaharienne, nous n’en voulons pas non plus, à partir de là il peut y avoir des accords, mais ça ne sera pas sans condition.