Droit de vote à 16 ans : comment Écolo précipite l’Europe vers le post-marxisme globalisé
Il s’agissait d’une promesse de campagne : le gouvernement de la coalition Vivaldi s’est engagé à abaisser le droit de vote pour les élections européennes à seize ans – contre dix-huit ans aujourd’hui – avant 2024, échéance du prochain scrutin continental.
Une telle mesure n’a rien de surprenant. De la même manière que l’Église catholique tente de se recycler en s’agenouillant devant le tiers-monde pour se maintenir en vie et charmer un nouveau public – soit sa seule finalité consistant à se reproduire en nuisant au corps étranger qu’est la nation ; on appelle ça du parasitisme –, Écolo/Groen a bien compris qu’ils devaient miser sur la jeunesse, terreau extrêmement fertile à leur business plan mondialiste.
Car il ne faut pas s’y tromper : le seul objectif des Verts par l’intermédiaire de cette mesure est d’assurer leur progression dans les urnes, donc leur puissance, leur influence et leur capacité de nuisance sur la société.
Dans son résumé de la proposition de loi, le parti déclare : “Cette proposition de loi vise à abaisser l’âge du début du droit de vote à 16 ans pour les élections européennes. Le droit de vote est fondamental dans une démocratie, et son élargissement en vue de permettre aux jeunes de voter dès l’âge de seize ans ne pourra que renforcer la démocratie européenne en particulier, et le tissu démocratique de la Belgique en général“.
Toujours la même rengaine : l’objectif des parasites globalistes est de renforcer la démocratie et le tissu démocratique incarnés par l’idéologie des Droits de l’Homme ; son humanisme, son égalitarisme et sa morale étant portés au pinacles ; sa justice et ses valeurs faisant office d’arbitres dans les sociétés occidentales modernes. Ce qui est pratique avec une morale érigée en vertu, c’est qu’on peut la brandir pour éliminer tout système qui irait à son encontre.
Les écologistes ne sont pas idiots : ils ont analysé les dynamiques et les forces en présence au sein de la jeunesse ; par le biais d’une propagande extrêmement puissante dans toutes les sphères de la société, ils savent qu’ils ont déjà la mainmise sur les cerveaux des jeunes occidentaux malléables à souhait. Il faut toutefois distinguer deux forces antagonistes au sein de la nouvelle génération :
- la jeunesse occidentale
- la jeunesse immigrée
La première est une jeunesse post-moderne influencée par la propagande progressiste et néo-libérale des médias mainstream ; une jeunesse de gauche radicale qui est entrée dans la logique de la décroissance et qui cherche à vaincre ce qu’ils ont identifié comme étant à l’origine du dérèglement climatique : le modèle capitaliste et patriarcal – autrement dit, les Blancs.
Vous avez remarqué ? Il n’y a pas un seul extra-européen dans ces manifestations de gauche radicale.
Parce qu’à côté de cette jeunesse de gauche progressiste, il existe une gauche dite indigéniste ; ce que les journaux appellent les jeunes et qui – selon l’antisémite ultra radical Yann Moix – connaissent Victor Hugo sur le bout des doigts :
Encore une fois : les écologistes ne sont pas stupides. Ils savent parfaitement qu’en abaissant l’âge du droit de vote, ils accorderont par voie de conséquence ce droit à des milliers de musulmans indigénistes qui s’empresseront de voter dans leurs intérêts. Aujourd’hui, les partis les plus conciliants sur les questions migratoires et religieuses sont le PTB (marxiste) et les Écolos (post-marxiste).
S’est donc formée une coalition accentuant son discours autour de :
- l’importance d’une politique globalisée articulée autour d’un État fort et mondial pour répondre à la crise du climat (factice : le seul problème étant l’explosion démographique)
- la lutte des sexes et la lutte contre le patriarcat substitués à la lutte des classes
- la repentance coloniale, l’immigration massive et la complaisance envers des religions du tiers-monde
Mais cette coalition ne durera qu’un temps. Je souhaite bien du courage à quiconque tentera de faire cohabiter sur un même territoire des gens qui estiment que l’Homme représente un problème structurel et d’autres qui pensent que la Femme n’a pas le droit de conduire.
Source : LaLibre