Des hébergeurs d’immigrés clandestins relaxés par la justice marxiste

La justice rouge est en roue libre : elle affirme que les clandestins ne sont plus des criminels mais des victimes.

“Aujourd’hui, on a gagné pas seulement pour nous mais pour l’ensemble des hébergeurs qui pourront maintenant héberger ‘sur leurs deux oreilles’… Un petit peu plus en tout cas” a déclaré la journaliste Myriam Berghe, lors d’un rassemblement à Bruxelles organisé par le collectif ‘Solidarity is not a crime’.

Poursuivies pour trafic d’êtres humains en 2017, quatre personnes viennent d’être acquittées par la justice belge alors qu’elles ont hébergé et fourni des services à des immigrés clandestins qui sont entrés illégalement sur notre territoire et qui, par conséquent, auraient dû être ramenés à la frontière sans le moindre délai.

L’hébergeuse de migrants Anouk Van Gestel affirme que des gens souhaitent sa mort et la traitaient régulièrement de pute à migrants.

Je condamne fermement ces propos.

Mais l’acquittement n’est qu’un point de détail ; sept migrants étaient également poursuivis pour trafic d’êtres humains et les propos de l’avocat de la défense nous éclairent sur la motivation profonde des juges :

“On a tenu compte de la vulnérabilité également des personnes qui étaient accusées [NDLR : il parle des migrants], et ça c’est quelque chose d’important ! Ça veut dire qu’il n’y aura pas de peine de prison et pas de peine d’amende.“

Marie Doutrepont, avocate de l’un des migrants, déclare de son côté : “Il reste que ce sont des personnes qui sont poursuivies parce qu’elles ont tenté de migrer. La cour a reconnu que ce sont d’abord des victimes et ces hommes sont malgré tout condamnés et traités comme des criminels, et ça, d’un point de vue politique, ça reste éminemment problématique“.

Comprenez bien ce que l’avocate pro-migrants Doutrepont déclare : les migrants sont avant tout des VICTIMES et quand bien même furent-ils condamnés, cette condamnation ne sera que SYMBOLIQUE et ceux-ci ne seront ni emprisonnés, ni expulsés du territoire.

Un État normal installerait des barbelés et des gardes armés le long de la frontière, comme Viktor Orban l’a fait en Hongrie.

Mais les magistrats semblent avoir une autre idée en tête pour l’avenir de la Belgique.

Voilà ce qu’ils promeuvent : la submersion migratoire, la colonisation de l’Europe, le remplacement de la population autochtone du Vieux continent par des hordes protéiformes venues du tiers-monde. L’immigration est une volonté politique : Orban en est la preuve vivante. Nos dirigeants, eux, ont choisi leur camp. Moi aussi.

Source : RTBF