Bruxelles : une centaine de boomers baboucholâtres manifestent pour qu’un meilleur accueil soit réservé aux migrants

Ces gros boomers dégueulasses n’en finissent jamais de nous surprendre.

Ce matin, ils étaient une centaine d’employés de Fedasil soutenus par Médecins du Monde et la Plateforme citoyenne de soutien aux réfugiés à interpeller l’irakien Sammy Madhi sur le manque de lits dans les centres d’accueil.

Danaé Coquelet, porte-parole au centre d’arrivée du Petit Château, s’est exprimée en ces termes :

“On ne peut plus continuer comme cela, avec une gestion au jour le jour. Ce n’est plus possible car cela ne respecte pas les droits des demandeurs de protection internationale, ni les droits des travailleurs du secteur de l’accueil. Les travailleurs sont épuisés, mais tiennent bon car ils ont envie d’accueillir décemment les demandeurs, ce qui n’est plus possible car tous les jours on doit choisir qui va rentrer et qui va devoir rester dehors. Les places arrivent aux compte-gouttes alors que les demandeurs de protection internationale continuent à affluer. On a une saturation à 97% de tous les centres en Belgique“.

La Coquelette a raison : on ne peut plus continuer comme cela ; les vrais Belges en ont marre d’accueillir l’ensemble du tiers-monde sur la terre de leurs ancêtres ; cette terre magnifique, si riche, si douce, qui susurre à nos oreilles d’émollientes paroles et nous convient à lutter contre notre génocide, contre notre substitution, contre notre remplacement.

Les boomers, quant à eux, militent de toutes leurs forces depuis quarante ans pour que notre peuple disparaisse totalement et définitivement ; c’est la raison pour laquelle ils font venir des centaines de milliers d’immigrés venus du tiers-monde avec un aplomb effarant. La mafia socialo-communiste a détruit la Wallonie. Ils sont parvenus à leur fin : faire de notre terre un gigantesque trou à merde sur lequel le Belge moyen n’a plus aucune emprise.

Ce qu’ils ne savent pas, c’est que parfois une rose peut pousser sur un tas de fumier.

Nous sommes au crépuscule de leur règne et à l’aube du nôtre.

Source : RTBF