Bruxelles : un événement féministe interdit aux Blancs soutenu par l’État
Ce jeudi soir, le collectif féministe bruxellois Imazi.Reine organise une discussion virtuelle en collaboration avec le Centre Librex et l’ASBL PointCulture. Le thème : “Pour une convergence des luttes non consensuelle. Entre antiracisme et misogynie, qu’en est-il de nos hommes ?”
Le collectif décrit l’événement de la sorte :
“Safe-space en non-mixité sans hommes cisgenre-hetero (oui aux mecs queer, oui aux personnes non-binaires) et sans personnes blanches”.
En d’autres termes, si vous avez cette tête, sachez que votre présence n’est pas souhaitée :
L’événement est d’ailleurs soutenu par Equal.brussels, la plateforme bruxelloise pour l’égalité des chances (donc : par l’Etat). Le cabinet de Nawal Ben Hamou (PS) indique que “le Centre Librex a reçu une subvention dans le cadre d’ateliers organisés dans la lutte contre le racisme” et nie avoir eu vent des relents antiblancs de l’événement.
Pourtant les faits sont là : les associations antiracistes (que nous appellerons désormais antiblanches) sont financées par le contribuable. Vous travaillez et payez des impôts pour que des gens venus d’ailleurs, subventionnés par l’Etat, vous disent ce que vous avez le droit de faire, de dire et de penser.
Source : LaLibre
Remarquons qu’il en va de même pour d’autres événements réservés aux Noirs ou aux “racisés” : en football, le Soulier d’ébène, en “musique”, Couleur café. Pensons aussi à l’élection d’une miss africaine.
Imaginons un instant une organisation qui créerait un prix réservé à un athlète ou à un musicien blanc. Qui oserait mettre sur pied l’élection de Miss Europe aryenne ?