Bruxelles : des immigrés clandestins remplis de pustules prennent une douche à la piscine des Marolles
Nous le savons tous : des immigrés clandestins venus des plus obscures profondeurs du Mordor se promènent çà et là dans tous les coins de la capitale du plat pays.
Fort heureusement, grâce à l’action de l’association néomarxiste Vriendschap Zonder Grenzen ─ en Français : Amitié Sans Frontières ─, de gentils Érythréens, Maliens, Sénégalais, Pakistanais et plus encore ont eu l’insigne honneur de prendre une douche au sein du complexe de la piscine des Marolles.
Amitié Sans Frontières, ce sont des Européens ethnomasochistes qui ne rêvent que d’une chose : voir l’Europe submergée par des millions d’allogènes supplémentaires jusqu’à ce qu’elle soit totalement asphyxiée et que les autochtones du Vieux continent ne soient plus qu’un mauvais souvenir ; c’est la raison pour laquelle ils exercent régulièrement des pressions sur les pouvoir publics afin de loger et nourrir l’ensemble du tiers-monde qui réside illégalement à Bruxelles.
Toutefois, ces moralisateurs d’extrême-gauche ont récemment repoussé une nouvelle frontière puisqu’ils ont cette fois permis à des malades dégueulasses remplis de boutons de prendre une douche dans un lieu public sans se soucier des conséquences sanitaires d’un tel acte. Très peu covid-friendly dans l’âme, cette action aura, je le crains, des conséquences néfastes sur la santé des nageurs invétérés de la piscine des Marolles. À votre place, j’attendrais quelques temps avant d’y retourner ─ à moins d’aller nager avec un masque FFP2 et une combinaison d’astronaute, juste au cas où ils auraient laisser des résidus de pu dans les douches.
Vous me direz : les piscines sont bourrées de clore, et faire barboter les Pakistanais pustuleux au milieu d’enfants vaccinés ne présente pas de danger imminent. N’empêche qu’avec le cirque sanitaire auquel nous assistons depuis deux ans, je trouve ça totalement irresponsable. Je m’en vais d’ailleurs de ce pas rédiger une lettre de plainte à l’intention du bourgmestre local.
Après cette douche improvisée, les braves immigrés clandestins sont retournés squatter à Petit-Château sous l’oeil bienveillant des boomeurs anti-blancs de Vriendschap Zonder Grenzen qui continuent encore et toujours à leur distribuer de la nourriture et du café ─ une source anonyme m’a également parlé de massages plantaires ; je ne sais pas si je dois la croire.
Bref, mes chers lecteurs, je vous invite à aller nager ailleurs.
Source : Sudinfo