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Liège : les proches des victimes de Nordine Amrani dégoûtés par la justice belge

Et il y a de quoi être dégoûté devant l’état de putréfaction de la justice néo-communiste en république de Wallonistan.

Souvenez-vous : le 13 décembre 2011, la place Saint-Lambert de la cité ardente fut le théâtre d’un massacre de masse perpétré par un parasite multirécidiviste qui avait été relâché dans la nature une fois de plus par pure compassion des juges envers les pires salopards du pays. Condamné en 2003 pour avoir violé une mineure d’âge handicapée et en 2008 pour trafic de drogue, le brave citoyen Nordine Amrani reçut la permission de quitter la prison en octobre 2010 ; un an plus tard, alors en liberté conditionnelle, il fut convoqué par la brigade judiciaire pour des faits de moeurs ─ tout porte à croire que ce renégat puant s’était à nouveau rendu coupable de viol et avait des comptes à rendre devant la justice. Terrorisé à l’idée de retourner en prison, Nordine Amrani mûrit sa réflexion et décida de se rendre en plein coeur de Liège pour flinguer tout ce qui s’y trouvât.

Flemme de retourner en prison, moi je veux directement accéder au paradis sans passer par la case départ

Les juges marxistes qui ont permis la libération conditionnelle de ce parasite ont du sang sur les mains : celui des quatre victimes directes de Nordine Amrani dont un bébé. Les familles des victimes en ont parfaitement conscience.

« On a l’impression ici qu’on rend hommage au tueur… On vous dit qu’il était courageux, qu’il a suivi des formations, qu’il était inséré… C’est très pénible. Les faits se sont passés parce qu’on a laissé aller les choses, et il est interpellant de savoir qu’il agissait comme on l’a dit et que de l’autre côté, on ne s’en rendait pas compte »

« Si la justice n’avait rien à se reprocher et était aussi performante, serions-nous là aujourd’hui ? Il y a des faits, il y a des responsabilités ! »

« Pour nous, ça ne va rien changer, mon frère, il est mort. Mais chaque fois que je vois dans l’actualité que cela se reproduit, chaque fois que je vois qu’une personne en liberté conditionnelle commet des faits graves, je me dis que tout le monde doit avoir peur : il ne faut plus effectuer des vérifications sur la confiance, il faut aller sur le terrain ! »

« Mais on vous dit maintenant que c’est la police de Liège, pour moi c’est aussi l’État ! »

« J’avais deux ados, qui ont perdu leur grand-mère. Ma maman était en route pour venir les garder, pour m’aider… On a dû survivre à toute cette douleur, on croyait en la justice nous, avant ! On voudrait voir des changements. Ma maman a été assassinée parce qu’il ne devait pas être là… »

Des témoignages poignants et bouleversants. Difficile de ne pas partager la douleur des familles des victimes quand on voit le zèle quotidien qui anime les magistrats de ce pays qui ont pour leitmotiv la libération d’un maximum de cancrelats dans nos rues pour transformer la Belgique en un véritable Gotham City.

La présence même de Nordine Amrani sur la place Saint-Lambert ce jour-là était une insulte au fonctionnement de nos institutions. Sa place aurait dû être au fond d’une cale, derrière les barreaux, avec un spot lumineux braqué sur lui jour et nuit. Mais les magistrats ont estimé que ce porc violeur et dealer de drogue était suffisamment gentil pour avoir le droit de se pavaner en totale liberté dans les rues.

Les proches des victimes de Nordine Amrani sont dégoûtés par la justice de ce pays. Moi aussi.

Sources : SudInfo, L’avenir

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