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Autisme radical : le traître Philippe participe à l’iftar avec une famille de mahométans syriens

Le monarque sous Prozac s’est encore distingué dans la catégorie “mou du bulbe qui donne des gages aux colonisateurs de l’Europe en chiant allègrement à la gueule des vrais Belges”.

Cette semaine, notre bon souverain s’est rendu dans la commune de Ham, dans le Limbourg, afin de participer à l’iftar ─ le traditionnel repas préparé par les musulmans pour rompre le jeûne durant la période du ramadan.

Ce gros dhimmi s’est donc fait péter la panse autour d’un couscous royal tandis que sa pauvre femme est restée à la maison parce qu’elle était positive au rhume-19 ─ mais pas lui alors qu’elle change ses couches tous les jours, allez comprendre ça.

Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi notre bon souverain a décidé de voyager jusque dans le Limbourg pour participer à l’iftar auprès d’une famille syrienne ─ notez qu’aucune femme ne porte le hijab et que le patriarche n’est pas un gros barbu avec le regard de Jack Nicholson dans Shining ─ alors que Bruxelles grouille littéralement de musulmans.

Philippe émettrait-il une distinction entre syriens et maghrébins ?

Ce serait là de la discrimination ethno-culturelle ─ presque du racisme.

C’est la raison pour laquelle j’invite publiquement notre bon souverain à se laver de toute soupçon en se rendant chez une famille de migrants Pakistanais résidant du côté de Molenbeek afin de rompre le jeûne avec Abdullah, sa Fatoumata de cent-vingt kilos et leurs quatorze enfants ─ une famille comme une autre, en somme ─ ; s’il refuse, alors je considérerai à l’avenir l’endormi Philippe comme un ethno-différentialiste radical qui cache bien son jeu.

Relèvera-t-il le défi ?

Source : RTL

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